Seychelles EU Connection
Would you like to react to this message? Create an account in a few clicks or log in to continue.

School of Business Management becomes The Guy Morel Institute 11-March-2014 •

Go down

School of Business Management becomes The Guy Morel Institute  11-March-2014 • Empty School of Business Management becomes The Guy Morel Institute 11-March-2014 •

Post  Sirop14 Tue Mar 11, 2014 6:43 pm

School of Business Management becomes The Guy Morel Institute

11-March-2014
• Shella Mohideen appointed Dean

The School of Business Management of the University of Seychelles (UniSey) is now known as The Guy Morel Institute and Shella Mohideen has been appointed as its Dean.

The official ceremony was done at the school’s premises at Majoie in the presence of UniSey’s vice-chancelor Denis Hardy, UniSey council members, principal secretaries, registrar and other distinguished guests.

It was Professor Hardy and Dean Mohideen who had the honour of unveiling the plaque marking the inauguration of The Guy Morel Institute.

The change in name comes after the chancellor of the UniSey, President James Michel, had proposed it in November last year as a recognition to the late Guy Morel who had played a critical role in the field of finance in Seychelles. Mr Morel was the first Governor of the Central Bank of Seychelles and he was responsible for setting up this management institute known then as the Management Training Centre and later on changed into the Seychelles Institute of Management (SIM). It has been in existence since 1978.

Following the country’s Independence in 1976, key positions in accounting and financing in government were occupied by British nationals. After Independence, the British were offered to keep the positions until Seychellois could be trained to fill them, hence the need to train Seychellois in these fields. It was then that Mr Morel came up with the idea of starting the centre.

In her address Dean Mohideen shared her vision of the Institute to the guests present.

“The Guy Morel institute will continue to focus on in-service training and continuous professional development. This type of training is needed to upgrade the knowledge, skills and ability of employees to help them be more productive and creative in their work,” she said.

“Foremost, I will work with my team for The Guy Morel Institute to be known for its quality programmes and supportive student experience. The institute must produce graduates who will make a difference in their workplaces and their lives; and who are empowered to participate fully in social and economic development,” she added.

She also took the opportunity to thank all her colleagues and staff. “This is indeed our Deanship and not my Deanship. It is my strong belief that our Deanship will transform UniSey and together we will take it to greater heights,” Dean Mohideen said.

“When we looked at the structure of the university we acknowledged the work of this campus and therefore designated it as faculty with its own Dean; this will ensure that the Faculty enjoys the full support of the rest of the university and its faculty will be acknowledged,” Professor Hardy said.

“It is also fitting to have its name changed to The Guy Morel Institute as Mr Morel has done a lot to support the Nation. The university has a mission to support the Nation in its transition in the knowledge economy. Through our in-service and our full-time degree courses, we are seeking to develop and spread the necessary skills to achieve this,” Professor Hardy added.

http://www.nation.sc/article.html?id=240966

Sirop14

Posts : 26845
Join date : 2008-06-02

Back to top Go down

School of Business Management becomes The Guy Morel Institute  11-March-2014 • Empty Résultats de l’étude sur l’emploi des jeunes aux Seychelles

Post  Sirop14 Tue Oct 27, 2015 10:52 am

27-October-2015
L’exclusion sociale et la précarité guettent nos jeunes de 15 à 30 ans, surtout la gente féminine

Le ministère de l’emploi et du développement des ressources humaines a présenté les résultats d’une étude qu’il a commandée au groupe de recherche de l’Université des Seychelles.
L’emploi des jeunes est un sujet prioritaire du programme pays pour un travail décent aux Seychelles (2011-2015). Ce programme se fait en collaboration avec l’organisation internationale du travail (OIT). Sous la houlette de la directrice de la section recherche et planification de la politique du ministère de l’emploi, Susan Morel, cet atelier de validation de l’étude sur l’emploi des jeunes, a permis de partager et de recenser de nouvelles recommandations.
En présence d’employeurs, de jeunes de 15 à 30 ans, de la secrétaire générale du ministère de l’emploi et du développement des ressources humaines, Mlle Veronique Bresson et des représentants d’autres ministères, le docteur Justin Valentin, a présenté l’Université des Seychelles (UniSey) comme un centre de ressources de recherches. Il a indiqué, avec satisfaction, que la section recherche de l’UniSey peut répondre désormais à des études sur le plan local, en particulier pour le gouvernement des Seychelles. « L’Université des Seychelles est un partenaire précieux. Construisons ensemble nos connaissances à propos de notre économie sociale. C’est un sujet sur nous et pour nous. Cela nous permet de donner une réponse à des décisions critiques », a-t-il partagé.
Ensuite, Mme Libby Cooper, consultante dans le cadre de cette étude, a exposé la méthodologie, l’échantillonnage et l’enquête intégrant les leçons apprises. Dans un premier temps, elle a posé les définitions de « jeunes » et de « chômeurs ». Les jeunes sont représentés par la tranche d’âge 15-30 ans. Les chômeurs sont définis comme recherchant activement un emploi, mais ne le trouvant pas. Elle a insisté sur le fait que cette étude répond aux principes de bases de toute recherche, c'est-à-dire, le caractère pluriel et l’avis de toutes les parties prenantes, la technique d’échantillonnage employée et enfin une approche mixte, à la fois quantitative et qualitative. « C’est un groupe très difficile d’accès et certains refusent catégoriquement de participer », a-t-elle fait remarquer.
Le professeur Gregory Andrusz, de l’Unisey, a commencé son intervention de façon pragmatique : « Comme son nom l’indique, un atelier, c’est fait pour travailler, alors au travail ! ». Les premiers résultats trouvés montrent qu’un quart des jeunes chômeurs, le sont en moyenne pendant 7 mois. C’est le groupe des 25-30 ans qui est le plus concerné, en particulier les femmes. Dans ce groupe, il y a les « décrocheurs » et ceux qui n’ont aucune sécurité de l’emploi. Plus de 22% de jeunes ayant déjà trouvé un emploi en trouvent un autre tout de suite. Ceux qui ont un haut niveau de qualification ont plus de chances de trouver du travail rapidement. Aussi, la famille occupe une place importante dans les choix de carrière des jeunes. Il est à noter, qu’aux Seychelles, il n’existe pas de système permettant d’avoir un cadre de référence pour construire son plan de carrière. De même, certains jeunes sont dans une situation sociale, où ils doivent contribuer aux ressources familiales et doivent trouver un emploi précaire et alimentaire. Ce qui amène à soulever la question du marché noir ou de l’économie informelle. Malgré cela, les jeunes ont des objectifs : 58% d’entre eux veulent réussir dans leur travail ; 53% rêvent de construire une bonne vie de famille ; pour ceux qui sont seuls, ils veulent contribuer financièrement à la vie familiale ; les jeunes femmes plébiscitent les compétences techniques et générales ; et en dernière position, arrive le facteur ambition.
Pour les employeurs, leur vision des jeunes en entreprise est peu valorisante. Le jeune est considéré, de prime abord, plutôt comme manquant de motivation et étant peu réaliste par rapport au monde du travail. Il faut continuer à le former, car ses compétences sont faibles. Parfois, ils se droguent ou ils diminuent la productivité. Bref, le jeune de 15-30 ans est plutôt ciblé comme un « cas social » et non comme une nouvelle force de travail. De ce fait, l’étude confirme cette tendance, avec des profils de jeunes peu formés, avec de faibles salaires et sans expérience professionnelle. Les employeurs estiment qu’il y a un réel souci d’attitudes et de sérieuses difficultés sociales en arrière-plan.
Selon le professeur Andrusz, ces résultats sont un peu inquiétants. On assiste à une forme de marginalisation des jeunes chômeurs ou jeunes nouvellement employés. Avant, il y avait la sécurité du travail, aujourd’hui, c’est un marché complexe et imprévisible. Sociologiquement, il préexistait une satisfaction sociale, maintenant un problème de genre, d’ethnicité et d’identité fait jour. La famille reste un support important aux Seychelles, mais l’exclusion sociale des jeunes, qu’elle soit passive ou active, est réellement présente. Cette classe sociale vit de plus en plus dans la précarité. « Oui, la précarité est un vieux concept, mais une nouvelle réalité aux Seychelles », a-t-il souligné.
Que faire ? Quelques exemples de préconisations partagées lors de l’atelier. Pour les jeunes, au niveau de l’éducation : offrir une formation plus généraliste et adaptée au marché de l’emploi aux jeunes, analyser et suivre le public de « décrocheurs » et appuyer les collaborations entre ministères. Pour les plans de carrière, l’intégrer plus tôt dans le système scolaire, avoir un service de conseils ou d’accompagnement par des experts, pouvoir faire plus de stages, avoir un niveau de formation plus élevé, être mieux formés pour appréhender le marché du travail rapidement. Dans le même temps, demander aux employeurs plus de transparence, des formations valides, des évolutions de carrière possible, un salaire minimum et une convention applicable au secteur concerné.

Seychelles nation

Comment - We have expressly publish this thread here - in the first place the motives, philosophy and arguments from then Mr Guy Morel as governor of Seychelles Central Bank to set up this Body and over the many years until recently its integration into SeyUni.

Bearing in Mind this is an effort/exercise by/of SeyUni and Seychelles lacks sophisticated body, Institutions to perform such task, research and evaluation - short of relying on UN/World Bank/IMF/UNIDO/ILO and others and their approach, benchmarks Then we have the Francophone, the Commonwealth, African Union and COI.

It is essential we support and inspire our youth in economic and job prospective, the positiveness of SeyUNI - the methodology, approach and instruments and manner of reporting is very wrong - from a text book approach may be correct because there is a very great deal lacking.

Time and time we have addressed why do SeyUNI refuse to take on board the issues of that Historic SIROP program and the impacts on many aspects of our nation and economy and the region. The many new mechanism which it helped contributed to put in place in term of the youth and job opportunity.

This said they are showing a totally poor aspects of our University Benchmark and education quality and those involved in its administration/Management. Their understanding of Global economy and regional economy and Politics. They are seen as instruments/representing of undemocratic international education benchmarks and its disciplines. They are seen as supporting a one sided politic and government exclusion practice.

In many parts of the world where that SIROP program have impacted and affected middle and higher education- the students have taken to massive protests and riots because/on account of such poor practice and Benchmark. It reflects the king of situation that SIROP program was originally set up to fight and change, the education incompetence, the corrupted lectures and professors and the system they supported.

That SIROP program was importantly responsible for the deployment of the WWW and very many associated issue and the arrival of the WWW in Seychelles and today young academicians can compare and inform themselves of what is going on at all universities and institutions of higher learning and the benchmarks and communicate and publish their findings/views.

The Opposition parties and he Media ought to point the abnormality and discrepancies to the Officials and Institutions. ( Having read the CJ statements on Court reporting - the Benchmark across the world in Seychelles those Policing authorities who will forget and take this as benchmark for everything related with reporting)

Sirop14

Posts : 26845
Join date : 2008-06-02

Back to top Go down

Back to top

- Similar topics

 
Permissions in this forum:
You cannot reply to topics in this forum