Hodoul Island

Hodoul Island

So, it is called Hodoul Island, this small, oval and flat land mass overgrown with casuarinas trees that lies some thirty breast strokes from the sea wall at the Seychelles Nation building at the entrance channel of the Marine Charter and the Yacht Club. Much smaller than Freedom Square, there is nothing particularly interesting about this ‘island’. In fact, it is bereft of all the features that characterise our inlying islands – coconut palms, a granite coastline – but a small cabin of coral limestone on its northern edge could arouse your curiosity and make you wonder. Moreover, you will find it baffling that Hodoul Island is not featured on old maps of Mahé, why?
Well, history can be so enervatingly enlightening.
In his letter of 28th July, 1873 to the Colonial Secretary of Mauritius, Chief Commissioner William Hales Franklyn (1816 – 1874) wrote of ‘... the so-called island Hodoul being only a wharf that has been constructed upon a submerged reef on the shore side of the inner harbour...’.
That is rightly so, because in his letter dated 19th November, 1829, the Governor of Mauritius Galbraith Lowly Cole (1772 – 1842) informed the Chief Commissioner of Seychelles George Harrison that Mr Hodoul had been given permission ‘for a grant of about 300 feet square in the harbour of Mahé on which to erect a marine establishment’.
‘Mr Hodoul’ was actually Jean François Hodoul (1765 – 1835) a French Corsair, who arrived in Seychelles in 1791 on his ship Les Deux Soeurs. He stayed for one year before returning to Ile de France (Mauritius). In 1794 he returned to Seychelles where, on the 9th June 1794, he married a fifteen year old Reunionaise girl named Marie Corantine Olivette Jorre de St. Jorre (1779 – 1856). After that, he roved the Indian Ocean attacking British vessels and confiscating their cargoes apparently with official sanction from Ile de France. By the time the British had taken official possession of the Seychelles in 1814, the Corsair had settled down at Chateau Mamelles with his wife and children. He owned a few properties on which he cultivated cacao plantations, and he had many boats.
Whatever imputations of moral turpitude that his reputation as a swash-buckling picaroon must have evoked among his fellow citizens, Hodoul must have impressed them with his resoluteness and steadfastness of purpose. To build a careenage in the inner harbour of Mahé at that time must certainly have been a grandiose scheme and a daunting task. But Hodoul had the wherewithals to achieve his ambitious project – he had brawny robust slaves and boats. So, for many months, the clusters of outcrops of rocks that Capt Corneille Nicholas Morphey (1724 – 1744) must have noticed and steered clear of on the 1st November of 1756 when he brought the Stone of Possession to Mahé, were filled in with rocks and debris. These were dumped, stuffed and crammed into the spaces to form a square of solid ground, a perfect careenage, an islet even. And it was there that Hodoul’s boats and many others were brought for careening purposes. During those days sailing vessels navigated by wind.
http://www.nation.sc/article.html?id=245267

Un Musée National de la Marine sur l’Ile Hodoul

31-March-2016
L’Ile Hodoul abritera bientôt le premier musée national de la marine des Seychelles.
Ceci qu’après le projet pour la construction dans les prochaines années d’un musée Nationale de la Marine des Seychelles a été approuvé par le Conseil des Ministres et a été officiellement lancé hier matin au Centre Culturel National à la Bibliothèque Nationale de Victoria.
Le lancement a été effectué par le ministre du Tourisme et de la Culture Alain St. Ange et le Conseiller auprès du Département de la Culture Richard Touboul, en présence de hauts responsables du ministère, les membres du comité national chargé du projet et d’autres personnages liés à cette initiative.
Le Musée Nationale de la Marine des Seychelles exposera des objets et personnes témoignant l’histoire maritime depuis la découverte de l’archipel jusqu’au temps moderne : Cartes historiques, bateaux, le navigateur Vasco da Gama qui a découvert ces îles et Lazare Picault juste pour en mentionner quelques uns.
Des objets du temps plus contemporain tel que l’époque de l’arrivée des navigateurs britanniques, les développements dans le domaine maritime comme les premières constructions de ports; les anciens marins seychellois et des chansons liées aux événements marins, la pêche artisanale et industrielle et tout récemment le projet économie bleue y paraîtront aussi.
En général, le musée mettra en valeur le parcours de l’histoire maritime des Seychelles.
Actuellement le Musée de l’Histoire Naturelle sur l’Avenue de l’Independence de Victoria abrite le morceau naturel, historique et maritime de notre histoire. Le component maritime sera transféré et amplifié dans le nouveau musée maritime.
Dans une courte allocution pour lancer le projet, le ministre St Ange a fait allusion à notre lien culturel avec la mer. Il a rappelé qu’avant l’arrivée du premier vol aérien aux Seychelles en 1971, toutes les transportations vers le pays étaient par voie maritime.
« L’idée d’avoir un Musée National de la Marine est pour revivre notre histoire avec la mer, » a dit le ministre.
Il a aussi fait remarquer que le Conseil des Ministres a donné le coup d’envoi au projet après avoir reconnu son importance pour les Seychelles, pour les Seychellois et la génération future.
M. Touboul a pour sa part observé qu'un Musée National de la Marine est important pour un pays de la mer comme les Seychelles. Il a aussi souligné l’importance du caractère régional et international que prendra le projet.
« En quelques années, ce sera un musée régional de la marine. Et un peu plus tard on le rendra international. Pourquoi international ? Parce que je crois qu’un musée régional doit avoir des partenariats internationaux si on a envie d’avoir cette reconnaissance et si on veut lui donner toute son ampleur, » a dit M. Touboul.
Il a aussi misé sur l’importance de constituer un fond pour le musée car dit-il, « un musée de ce genre ne peut être réalisé uniquement avec le fonds du patrimoine nationale des Seychelles ». C’est dans cette ligne que l’assistance britannique, chinoise et américaine est anticipée.
La France a quant à elle déjà accordé son support à ce projet. Très prochainement, cinq employés du Musée de l’Histoire Naturelle iront suivre une formation dans des musées maritimes français.

http://www.nation.sc/article.html?id=248922

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We refer to Sir James Mancham article of 30/3/16 - his recommendation and our contribution to Prof Dr Jose Souyave.
Only the crooks and those who study/research how to leverage/gear their multinational working listen - stating that portal of our Communities in EU have been driving thematic of significant dimension, beside their Economy, France and their Budget - much more their Arcadian and Illuminati workings and the thematic of the search and discovery of Vasco Da Gama lost fleet/ship the Esmeralda. The recent news - there are discipline to prove and discovery - our statement at our Forum and the announcement that Hodoul Island will house a National Marin Museum - those involve and responsible should/ought make/take note.

http://www.independent.co.uk/news/world/world-history/portuguese-shipwreck-discovered-oman-vasco-da-gamas-esmeralda-a6932836.html

Corsaire, commerçant, juge et humaniste !


01-April-2016
L’Ile Hodoul sera bientôt en partie transformée en premier Musée de la Marine des Seychelles. L’occasion idéale de redécouvrir l’illustre personnage qui a donné son nom au petit ilot situé dans le port de Victoria…
Jean-François HODOUL est né le 11 avril 1765 à La Ciotat, une commune du département des Bouches-du-Rhône dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur du sud de La France. Son père, Raymond, était charcutier et sa mère, née CAUVIN, se prénommait Geneviève.
Il part à 24 ans dans l’océan Indien et arrive à bord du « Scipion » à l’Ile Maurice en 1789, où il fait du trafic d’esclaves avec les Seychelles et Madagascar. Il commande, à 27 ans, le navire « Les Deux Sœurs » en partance de Port Louis, puis le brick « Succès » vers Madagascar et Kilwa en Tanzanie.
Il épouse en juin 1794 Mairie Corantine Olivette Jorre de St Jorre, âgée de 16 ans, la fille d’un riche propriétaire de Flacq, à Maurice.
Jean-François Hodoul abandonne alors la carrière de négrier puis entame celle de corsaire en 1794, à bord de son navire « l’Olivette », baptisé du nom de son épouse. En mai de cette année, surpris dans le port de Mahé aux Seychelles par l’incursion de quatre vaisseaux anglais accompagnés de deux prises françaises et commandés par l’amiral Newcome, il est obligé de se rendre malgré une résistance héroïque. Son navire est alors réquisitionné.
De retour à Maurice, on le retrouve en 1796 comme enseigne de vaisseau à bord du corsaire « Entreprise », puis sur le « Pichegrue », récemment pris aux anglais et à bord duquel il se rend en Inde. Sur la route des Indes il capture la prise anglaise « Le Castor » et le ramène à Port Louis.
Commandant du corsaire « Apollon »
En mai 1797, il est promu commandant du corsaire « Apollon », navire de dix canons et six obusiers nouvellement arrivé de Brest. Il va écumer les mers pour traquer tout ce qui porte pavillon anglais.
En mer depuis une semaine à peine, il prend en chasse, au large des côtes de Malabar, un vieux trois-mâts « L’Eliza » (pris auparavant aux français et commandé par l’anglais William Brown) lequel, après une course poursuite, est contraint de se rendre.
Six jours plus tard, il récupère sept esclaves encore vivants à bord d’un navire anglais abandonné par son équipage après une tempête et capture trois jours après, « l’Edroussi », un petit navire anglais. Fin mai, il poursuit, sur la route de Coringa, l’anglais « Le Macroy » dont une partie de l’équipage tente de s’échapper sur une chaloupe. Mais Hodoul poursuit les fuyards et ils abandonnent sur la plage un gros coffre rempli de perles! Le 15 septembre de la même année, il capture l’anglais « Bader Bux ». Il y découvre 3 732 écus d’or, quelques piastres, 296 sequins et une grande quantité de perles.
De retour à Maurice, il capture encore le 30 octobre le « Laurel » du commandant Fugo, puis, le 9 novembre « La Trayalle » et le « Harrington » dans la même journée!
Sa vaillance au combat ne l’empêche cependant pas de se montrer magnanime et loyal : Ayant capturé un riche marchand anglais qui transportait avec lui toute sa fortune en or, il le libéra dans un port indien sans le rançonner d’aucune manière. Car, le britannique portait sur lui les témoignages de français en difficulté qu’il avait aidés auparavant.
Durant cette expédition sur « l’Apollon », le total des prises fut estimé à 703.479.803 Francs de l’époque!
Arrivé à Maurice fin 1797, Hodoul vend « l’Apollon » à un autre corsaire dit Le Vaillant, qui va en prendre le commandement. Le navire appareille le 22 août 1798, mais après avoir capturé une riche prise portugaise, il est arraisonné par le « HMS Léopard » le 10 novembre, au large de Mombasa et l’équipage est emmené aux Comores.
En juin 1799, Marie Corantine Olivette donne naissance à un premier enfant, Raymond. Mais Hodoul est repris par la « course » ! Il achète "L’UNI", un bateau de 220 hommes d’équipage et armé de 32 canons et 18 obusiers. Il appareille le 15 mai 1800 et la "curée" reprend : Prise fin mai au large de Ste Anne, aux Seychelles, du corsaire anglais de huit canons « Henriette » commandé par le capitaine White. En juillet, c’est le tour du "Helen" avec 80 000 piastres à bord. En août, le "Friendship".
Mais le 5 août 1800, "L’Uni" est à son tour capturé par "Le HMS Arrogant" dans la baie du Bengale. Hodoul et son équipage sont débarqués à Madras et emprisonnés à Calcutta au fort Willam. Ils ne seront libérés que deux ans plus tard, en août 1802, lors des accords de  Paix d’Amiens par lequel Napoléon Bonaparte cesse les hostilités avec l’Espagne. Hodoul va alors s’installer à Mahé. Il fait construire à Les Mamelles, au sud de l’actuelle capitale Victoria, une belle demeure.  Il achète aussi des terres sur la côte est de Mahé, y établit une plantation de cacao et fait construire une autre maison qu’il baptise « Ma Constance ».
Des campagnes commerciales plus posées
En 1803, Hodoul fait reconnaître sa qualité de capitaine de vaisseau marchand mais reste à terre et s’établit su l’île de Silhouette. Après 1805, il abandonne l’habit de corsaire et entame des campagnes commerciales plus posées et revient plus souvent à terre.
En janvier1805, il commande le brick « Rosalie », 45 tonnes, puis, de 1806 à 1808, le brick « Mahé » 25 tonnes et en 1809-1810 la goélette « La Favorite » 70 tonnes. Il fait du « commerce » avec l’Afrique avec du coton, des noix de coco, de l’huile, des écailles de tortue et malheureusement très souvent des esclaves.
Entre juin et juillet 1819, son fils Raymond, 20 ans, commande la goélette « Six Sœurs » de 200 tonnes quand éclate un incendie dans les balles de coton et gagne le navire. Un seul canot disponible pour les 65 embarqués ! Un terrible choix est incontournable : les femmes et les enfants d’abord, puis, les esclaves (!) et les officiers. On doit abandonner à la mort une partie de l’équipage. Commence alors une épopée à l’issue de laquelle le canot parvient enfin à l’île de La Digue. On ne comptera que 30 rescapés.
Vieillissant, Hodoul devient l’une des personnalités les plus respectées mais aussi fortunées de la région. Il n’arrête pas les transactions immobilières : Il vend sa propriété de l’île de Silhouette, une parcelle de l’île Ste Anne, achète l’île Desroches, reprend une partie de Silhouette, crée avec son fils Raymond un « établissement maritime » dans le port de Victoria. Son sens de l’équité lui vaudra même d’être souvent nommé Juge par ses concitoyens.
Cet écumeur de mer va mystérieusement décéder sur sa terre de Mahé à 70 ans. Le 10 janvier 1835, il part visiter sa plantation à cheval. Mais la monture revient seule. Après de longues recherches, on retrouve son corps inanimé. Il est probablement une crise cardiaque.
Il fut inhumé au cimetière de Bel-Air, où l’on peut encore voir sa tombe avec, au dessous du dessin d’un trois mâts, une épitaphe le qualifiant de « JUSTE». Cette qualification ne semble pas être usurpée. Car, de multiples récits confirment la bonté avec laquelle Hodoul avait traité prisonniers, marins capturés ou esclaves dont il avait eu la charge. En dépit de l'infâme commerce des hommes, horriblement banalisé à l’époque, il fut malgré tout unanimement reconnu pour sa générosité. A tel point que nombre de sites rappellent encore son nom sur les cartes de l’océan Indien : l’Ile Hodoul dans le Port de Victoria, le Rocher Hodoul et la Rivière Hodoul à Mahé, la Passe Hodoul à l’île Desroches et la Pointe Hodoul à Aldabra…
Autant de témoignages de reconnaissance de la curieuse mais sincère « humanité » dont fit preuve le redoutable corsaire.
Et quelle coïncidence, le bâtiment La Ciotat, propriété de ses descendances à Mont Fleuri  dans les banlieues de Victoria, abrite l’Ambassade de France !

http://www.nation.sc/article.html?id=248936

Origin and history of the St Jorre family
http://www.johndestjorre.com/jorre.pdf

John de St. Jorre · Author · Journalist · Screenwriter ·
http://www.johndestjorre.com/index.html

Ex Minister Danielle Jorre de St Jorre - D'Offay Derieux
http://www.pfsr.org/wp-content/uploads/2016/03/1daniel.jpg

Comment - We have read through most of the book/document it confirm some of our views of Genealogy working, the attitude of those Families in Reunion, Mauritius, Sechelles Seychelles, Comore and BIOT.

How the Circle form those who understand and study Circle workings - the science, Minister for Foreign Affairs, Mr Daniel St Jorre - D'offay -Deriuex name/role ought to go down in History not as first Female Minister for Foreign Affairs - but her role in convincing then President F A Rene to consider accepting that historic SIROP program, here we are dealing with a total mess the British had cooked in the decolonizing process East of Suez global politic but  the Cold War Super Powers conflict, the West/NATO verses East, USSR, global Communist, Warsaw Pact and COMECON. In the process catapulted Mauritius into a Republic, help rebuild her economy and Stock Market,  the impact on Global workings, Gulf Region, China, India and Asia.

The Hodoul  Family involvement that of then Minister Jacques Hodoul in supporting that Program and his younger brother also a prominent figure Head of Seychelles Navy,  thought not so supportive and the other members of the family - to make matter more complicate the very construction of the Citaot where the French Embassy is today what inspired/drove and synergized by major work of our Seychelles EU Community again very many important antique, Arcadian and Illuminati issues including that of Mauritius and Reunion. Events and development he went on to become Judge Jacques Hodoul of the Court of Appeal.

Talking  of Circle, Sunday 3rd April, 2016  - that ex FBI Senior Executive publication the world had only 18 days before a 3rd World War. We did not write that article over/about the Jorre - St Jorre Family in Old France, the Content and information it contain  - this just one Family.  Time and Time have stressed to then President F Mitterrand his Officials and government, in Britain, Germany, Spain, Italy, Austria, Belgium, Luxembourg, Switzerland, Scandinavia,  Holland/Netherlands, South Africa, Canada and Quebec, Australia, Ireland, the UN of the Arcadian working of the Founding fathers of that Sechelles Seychelles Nation their interlinking resources, Institutions in the Indian Ocean , France, the Francophone , how we managed them to achieve an optimal solution. Including the Royal Families of Europe and their Nobility.

It is very special and important that this Day 3/4/16 we publish the above thread - the efforts we have been making to rebuild and reactivate this historic program, reappraise - those content jut to extract and use it to leverage their multinational and national workings to the maximum.  The  agenda of those 25,000/30,000 exile/refugees form Seychelles are left sitting the cold.

Much more important that first Terrorist Incident in France then Paris last year - the efforts we had been making to rebuild and reappraise that Program  and the manner those in Power and Office comported themselves - much more important we were supposed to have a large gathering latest end of March 2016 - had this taken place in Bruxelles this terrible incident would not have taken place - we stress, underline to everybody you are not dealing with some new movement and their workings and capacity you are dealing and have been dealing with ancient, Arcadian, Illuminati working of a #European people, heritage and future - they form part and help very many of the world Institutions and their workings -including your Justice, Navy, Army, Intelligence  and the long list, the church. With the topic of Brit-exit those using this as an excuse to be a great deal nastier and madder vis a vis our person and workings, community, Those 25,000 exiles/refugees.

We are adding a link of German Vice Chancellor and one time FDP Leader Hans- Dietrich Gensher passing away  what he meant, what he did for us withing the context of that SIROP program.

https://www.youtube.com/watch?v=gJUrOf5iGZY&ebc=ANyPxKqsxsdAYP_Pc5Nl6_Q-8qSqgknm5Au5xN6mcruTkaZFS1YBvDkukVPMEln7N_42_Lc3FnlMNpe8cByCbV3d8D97KuIC_Q

Musée National de la Marine des Seychelles - Partenariat France-Seychelles

27-May-2016
Signature à Paris d’un protocole d’entente

La signature, le 9 mai 2016, du protocole d’entente entre le Ministère du Tourisme et de la Culture de la République des Seychelles et du Musée national de la Marine en France à l’ambassade des Seychelles en France est un évènement majeur dans le projet de création du Musée National de la Marine des Seychelles. Moment solennel ouvrant la voie à un exceptionnel partenariat culturel entre la France et les Seychelles.
Ce document signé par l’Ambassadeur des Seychelles en France, Monsieur Bernard Shamlaye, et le Commissaire Général du Musée National de la Marine en France, Monsieur Vincent Campredon, symbolise et perpétue l’excellence de la coopération établie de longue date entre les deux pays liés par un patrimoine historique et maritime commun.
Dans son allocution, l’ambassadeur des Seychelles en France, Monsieur Bernard Shamlaye a exprimé la reconnaissance des Seychelles pour l’aide précieuse et nécessaire que ce partenariat apportera à la réalisation de ce grand Musée National de la Marine des Seychelles.
Le Protocole d’Entente établit une liste de domaines de partenariat comme la formation de personnel seychellois dispensée gratuitement par le Musée national de la Marine en France, l’expertise, les conseils, des prestations de rénovation de maquettes maritimes de musées.
Une première action culturelle vient de se concrétiser. Cinq fonctionnaires du Musée National d’Histoire des Seychelles ont suivi du 23 avril au 13 mai un stage dans les différents musées nationaux de la marine en France à Paris, Brest, Port Louis et Rochefort. Formation exhaustive et d’exception couvrant tout l’espace lié à la création d’un musée national de la marine moderne : muséographie et scénographie maritimes, conservation, recherche, culturel, expositions, communication, multimédia, administratif et financier, développement.
Concernant la formation donnée au personnel seychellois, l’ambassadeur a souligné « Nous sommes fiers de porter en nous cette richesse qui ne peut que renforcer, parfaire ce partenariat et aussi très heureux de mener à l’unisson des actions de valorisation du patrimoine commun historique et maritime de nos deux pays »
De son côté, Monsieur le Commissaire Général du Musée national de la Marine en France, Monsieur Vincent Campredon a évoqué que « ce partenariat sera source d'efficacité, de rationalité et d'enrichissement mutuel pour les deux institutions. Recherche de synergies et cohérence seront, j'en suis certain, la préoccupation constante de leurs responsables. [..] Il faut le souligner, ce premier échange marque le commencement d’une aventure humaine exceptionnelle dans laquelle nous sommes tous engagés : celle de construire un grand musée national maritime pour notre pays. Ambition fantastique, l’enjeu est exceptionnel!»
Les deux parties se sont engagées à développer « un partenariat actif et harmonieux qui puisse favoriser l’enrichissement culturel et patrimonial réciproques »

http://www.nation.sc/article.html?id=249571